Les Hameaux de St Pierre et du Tourond

par | Août 14, 2021 | MÉMOIRE DES LIEUX, MONUMENTS ET LIEUX | 0 commentaires

Pour notre premier volet de la série dédiée à la découverte des hameaux, des lieux dits et lieux notables de notre commune, nous allons commencer par les quartiers de  «Saint Pierre» et du «Tourond» ( Jarjayes ayant son origine dans ce quartier de Saint Pierre, il nous a paru logique de commencer par là) traversés par la RD 211 qui relie « Notre Dame du Laus » à « Jarjayes » en desservant en antenne «Champ Espérant » et Bigand.

Histoire :

Sur la foi de diverses trouvailles faites dans les champs par les paysans, l’abbé Allemand estimait que, à l’époque romaine, «le territoire était occupé sur plusieurs points. avec une agglomération aux environs de Saint Pierre». Ce lieudit, situé à proximité immédiate du Tourrond, au centre d’une étoile de chemins desservant les parties hautes de la commune, et où se trouve le cimetière, était encore «la principale agglomération des habitants pendant le haut Moyen Age». L’habitat aurait donc subsisté longtemps dans le même lieu. Le hameau primitif du Tourond se serait progressivement étoffé, jusqu’au XI ème siècle, date à laquelle les habitants vinrent bâtir un nouveau village « sur la hauteur qui domine le village actuel ».

Origine du nom :

Le Hameau de Saint-Pierre tire son nom du patron de l’Église paroissiale bâtie en ce lieu dans des temps très anciens. « Cet antique village de Jarjayes s’élevait au bas du côteau de la Serrière, sur les deux bords du ruisseau de St-Pierre, dans un site exposé au midi, et au milieu du terroir le plus fertile... C’est en ce lieu qu’exista le principal village dans le haut Moyen-Age et même pendant l’époque romaine et c’est là que les habitants du territoire ont dû recevoir le christianisme » (F. Allemand, Histoire de Jarjayes) ;

L’ancien village trop exposé aux invasions barbares, fut progressivement abandonné au XIe siècle par ses habitants qui vinrent se mettre à l’abri dans l’enceinte du nouveau village fortifié construit sur le rocher de Tréchâtel (qui a donné son nom à Trois-Châteaux).

Le Tourond, orthographié aussi « Tourrond » «  Touron », « Toron » « Torond , ou « Toront ».

Le terme vient sans doute de l’ancien français « touron » ou « toron » signifiant éminence ou colline isolée. Vaste cuvette entre le col du Tourrond et le plateau de Saint Pierre.

Attesté dans un livre terrier du 6 janvier 1339 qui fait référence à  un pré « ad torondum » (Arch. Des H.A. 7E. G. de Manteyer La Terre de Jarjayes en Gapençais).

La Chapelle Saint Pierre qui a donné son nom au quartier est l‘église la plus ancienne de Jarjayes. Elle était l’église paroissiale dès l’époque romaine, entourée, conformément au pontifical romain, du cimetière qui est encore celui d’aujourd’hui. 

Au XIe siècle, pour se protéger des invasions barbares les habitants ont déplacé le village sur la pente du rocher de Tréchâtel, mais l’église de St-Pierre continua d’être leur paroisse. Il en fut ainsi jusqu’aux guerres de religion, où les protestants la saccagèrent. (fin 15e et début du 16e siècle).

En 1860, on a bâti sur son emplacement, et avec ses pierres, une petite chapelle destinée à perpétuer son souvenir vénéré et servir, en même temps, de lieu de sépulture à la famille de Ventavon.

Dans les décombres, on a découvert alors les pierres de l’oeil de boeuf donnant une ouverture circulaire de lm 30 de diamètre, ainsi que le haut de la porte. Cette porte était à plein cintre, ce qui fait présumer que les voûtes de l’édifice l’étaient pareillement. On mit également à jour les fondations : elles mesuraient 24 mètres de longueur sur 9 de largeur. Après la destruction de cette église, au XVe siècle, ce fut celle de St-Thomas- au quartier actuel de Trois-Châteaux-, qui la remplaça comme église paroissiale, au bord du rocher de Tréchâtel » ( Abbé ALLEMAND Histoire de Jarjayes).

Cadastre de 1810 (cadastre Napoléonien) :

Au début du 19e siècle, le quartier ne comptait qu’une dizaine de maisons abritant 6 familles.

Voici les propriétaires des maisons existantes en 1810 avec la section, le numéro cadastral, et le nom des habitants tel qu’il apparaissait à l’époque (parcellaire cadastral consultable aux Archives départementales 05) :

Hameau de St Pierre

– Cimetière A706 Communal
– Maison     A 709 Gautier Gaëtan à Gap

Hameau du Tourond :

– Maison   A 288 Marin Pierre ou ses hoirs*
– Masuret A 325 D’Auriac à Barcelonnette
– Maison  A 326 D’Auriac à Barcelonnette
– Masure A 327 D’Auriac à Barcelonnette
– Maison A 342 Vernis Joseph du Tourond
– Maison A 365 Garagnon Jacques ou ses hoirs

Bigand :

– Vacant B 117 GLAIZE Bernard au Tourond
– Maison B 118 GLAIZE Bernard au Tourond

Champ Espérant :

Maison et cour B 184 Reymond Guilleaume ou ses hoirs

*hoirs = héritiers

Pour vous aider à situer ces maisons, voici un lien vers le plan napoléonien des Archives départementales.

La population du hameau a progressivement diminué entre 1836 et 1936 (recensements consultables sur le site des archives départementales).

Recensement  Maisons Ménages Individus

1836                                                          54
1846                          7               7            50
1851                                                           47
1856                          8                8           40
1861                           8                8           39
1866                          8                8           47
1872                          8                8            35
1876                          7                8            34
1881                          8                 8            32
1886                         8                 9            38
1891                          6                 6            33
1896                         7                 7            40
1901                          6                 6            32
1906                         7                 7            37
1911                           9                 7            38
1921                          7                 7            25
1926                         7                 7            20
1931                          8                 7            19
1936                         8                 6            21

La chute atteint 60 % entre 1836 (54 habitants) et 1936 (21 habitants), avec deux baisses importantes aprés la guerre de 1870 et après celle de 1914-1918.

Le pas-à-pas , à suivre sur le terrain ou à partir de la carte de l’IGN comme si vous y étiez (lien vers le site monbeauvillage.fr) :

En partant du « Col du Tourrond » 1046 mètres d’altitude, le premier chemin à droite, le chemin rural 43 nous conduit par un chemin forestier au pied de « Puy Maurel » altitude 1317mètres. Après une marche de 500 m environ, nous trouvons sur la droite un chemin qui se rétrécit pour ne plus être qu’un sentier traversant « Charamère » ( bois de pins) et qui débouche sur la route de « Notre Dame du Laus ».

Laissant ce chemin de côté nous continuons notre marche et 100, 150 mètres plus loin celui-ci prend 2 directions : à gauche un sentier qui nous permet de rejoindre la route qui nous mène au « Tourrond » par le sentier de « L’Acqueduc » et à « Jarjayes ».

Revenons au point où ce chemin en continuant tout droit, au lieu de prendre à gauche, nous conduit par divers sentiers sur la droite à « Puy Maurel » ou en continuant tout droit, au « Pas du Lièvre », au « saut de L’Ange » et au village de « N D du Laus », et par le cr 44 rejoint la route de « N D du Laus ».

De retour au col du Tourrond, en face du chemin forestier qui part sur la droite le cr43, un autre chemin forestier sur la gauche, le cr40, qui irrigue par un tissus composé de plusieurs chemins complémentaires tout le massif de « Puy Cervier », et mène toujours par le cr40 aux « Clots » au sommet de « Puy Cervier » 1239 m.

Reprenons la route et continuons de descendre ; deuxième chemin sur droite qui devient très vite un sentier est celui de « l’Acqueduc » , le cr45 nous conduit au pied de « Puy Maurel», et nous permet également de rejoindre « le col du Tourrond » en empruntant le cr43.( identifié déjà ci-avant).

Un peu plus bas, à gauche en descendant donc, le deuxième chemin cr 42 à gauche, divisant en deux un champ, « les Drailles », nous achemine sur un plateau constitué de terres agricoles situées sur le versant Nord de « Puy Cervier », nommé «  Champ Espérant », puis plus loin par le cr 35, un sentier forestier à « Bessonne », à « Tibule » et enfin au pied de la cave coopérative de « Valserres ».

Le troisième chemin à gauche nous mène à la blache de la «  Fauvie » et un peu plus loin à « Champ Chassier » pour finir en cul de sac. En des temps anciens il existait un raccourci à travers bois pour se rendre à pied de « Bigand » à « Champ Espérant », il porte également l’appellation de cr42, (il n’existe plus que dans sa partie haute).

En bas du col, là où « Le Merdarel » coupe la D211, avant de pénétrer au «Tourrond», c’est « Bigand ». A droite, bien au dessus de « Bigand » un champ très pentu situé sur le flanc sud est au pied de « Puy Maurel », c’est le « Viton ». Tout de suite après « Bigand » nous trouvons à droite jouxtant la route, la réserve d’eau de l’O N F.

Un peu plus loin, à gauche en contrebas de la route et enserré entre celle-ci et le « Merdarel » un grand champ, c’est « Pigeonnier » et en face, au dessus de la route, à droite, un autre champ et une ancienne ferme, aujourd’hui résidence secondaire, c’est « Marin », probablement issu du nom d’une ancienne famille établie en ce lieu et dont on retrouve le patronyme sur le cadastre napoléonien.

Passés le « Pigeonnier », « Marin » et la combe qui suit, nous arrivons à « Pravier » constitué de deux champs, l’un au dessus de la route et l’autre au dessous.

Laissant « Pravier » et la combe qui s’en suit, nous découvrons à gauche deux anciennes exploitations agricoles, de nos jours résidences principales, et en dessous de la première une grande parcelle cultivable.

Sous la seconde, une parcelle herbeuse, un pré et en dessous le « biau » du Sagnas » dans lequel s’engouffre le « Ruisseau de Saint Pierre » qui va se jeter dans le « Merdarel ». A droite au dessus de la route au pied de « Somelonge », en face de cette seconde maison, une résidence principale qui était une exploitation agricole il n’y a pas si longtemps.

Passé ces deux maisons qui se font face, nous arrivons au « Pont » là où le « Ruisseau de Saint-Pierre » venant des « Préaux » coupe un peu avant « La Croix » la D 211 pour aller se jeter dans le « Merdarel ».

Revenons un peu en arrière, là ou « le Merdarel » coupe la D 211 au niveau de la réserve incendie de l’O N F.

Passé « le Merdarel » nous sommes à proprement parler au « Tourrond». En effet il s’agit d’une cuvette avec deux accès, l’un à l’est par le col du «Tourrond» 1046m, l’autre à l’ouest au niveau du cimetière de « Jarjayes » le tout étant bordé au sud sud-est par  « Puy Cervier » et «Le Merdarel» en fond de cuvette, et au nord nord-est par « Puy Maurel » et la crête de « Somelonge ». Le ruisseau de «Saint Pierre »  entre «Somelonge», et le « Serre Saint Pierre » fait la limite physique entre «Le Tourrond» et le plateau de «Saint Pierre». La limite administrative, en quelque sorte entre les deux se situe au niveau du cimetière là où est érigée la petite chapelle de « Saint Pierre » au lieu dit « la Croix »  et où la route se divise en trois en forme d’une patte d’oie.

A gauche, direction le cimetière, sa chapelle, et une exploitation agricole, dont l’habitation est un ancien prieuré datant d’avant le XVI ième siècle, à droite la route (l’A1) qui descend de «Rambaud» et tout droit vers Jarjayes. Nous nous trouvons alors sur un vaste plateau constitué de terres cultivables et ce, jusqu’a la salle polyvalente et le lieu-dit «La Carrière». C’est le quartier de «Saint Pierre».

De « la Croix » (qui n’y est plus) nous parcourrons le plateau, en trouvant à droite après « la Croix » au niveau où débouche l’ancien chemin communal, cr 3 + cr 51, qui existe toujours, (qui relie « Sentinelle » à « Saint Pierre » en passant par « La Peyrouse») « L’Hoche », et sur la gauche en contrebas du grand champ, « Vières et les Vigneaux », qui regardent bien en dessous le « Merdarel », et en face « Puy Cervier »,« Bessonne » et « Tibule ». De là, la RD 211 rejoint le village.

De nos jours que ce soit pour « Champ Espérant » , «  Le Tourrond »  ou « Saint Pierre », il ne s’agit pas de hameaux au sens ou on l’entend de nos jours , (en particulier pour «Le Tourrond», bien qu’apparaisse sur le cadastre napoléonien cette appellation, puisque l’on se trouve pour diverses raisons en présence d’un habitat dispersé résultant d’anciennes petites exploitations agricoles qui, pour certaines existent encore, mais remembrées. Les anciennes fermes ne sont plus aujourd’hui que de simples maisons d’habitation qui ont perdu pour la plupart leur vocation première.

Nous mettons à disposition un petit glossaire en fin d’article et vous invitons à consulter celui, plus complet, paru récemment (lien vers ce glossaire) afin d’y trouver certains compléments d’informations concernant l’origine des noms ainsi que le cas échéant leur localisation géographique.

Voilà bouclé le premier volet de notre série sur les hameaux de Jarjayes. 

Rendez-vous pour le second volet qui sera consacré à un autre hameau de Jarjayes.

Bonne lecture et à bientôt.

Petit glossaire des noms du quartier:

Puy Cervier : podium Cerverium. Puy pour mont. Cervier de cerf. Culmine à 1239 m, domine Le Tourrond au nord est, au col à gauche.

Puy Maurel : Podium maurelum. point culminant de Jarjayes (1405 m). Issu d’un dérivé de Maure, mauvais, obscur, sombre, foncé. Butte rocheuse, qui domine Le Tourrond au sud est, au col à droite, culmine à 1317m.

Champ Espérant : Plateau face nord de Puy Cervier, viendrait de l’occitan espérar pour attendre, chasser à l’espère.

Bessonne : jumelle, issu de besson (jumeau), occitan et ancien français. Versant ouest de Puy Cervier.

Tibule : origine inconnue. Peut-ëtre le patronyme d’une ancienne famille jarjayaise . Après Bessonne sur le CR35, au niveau de la cabane forestière en descendant sur Valserres.

La Fauvie ou Fouvie : dérivé de fagus, fayard . Fau pour hêtre. Hétraie. Bois sur le versant nord de Puy Cervier.

Champ Chassier : pas d’information sur l’origine du nom, versant nord de Puy Cervier, après La Fauvie.

Le Merdarel : occitan pour merde, peut être traduit par torrent boueux (voir glossaire). Torrent qui coule au Tourrond, prend sa source aux Sarrières et se jette dans l’Avance au hameau des Tancs.

Bigand : patronyme d’une famille de Jarjayes au 15 et 16 ième siècle, là ou le Merdarel coupe la RD 211, parcelle de bois dans le massif de Puy Maurel.

Marin : sans doute issu du nom de la famille (cf cadastre 1810), plus connue à notre époque sous le nom de maison Negro. Après Bigand, sur la droite en dessus de la route, en face du Pigeonnier, qui lui est en dessous de la route.

Le Tourrond : vient de la racine pré indo européenne tor qui signifie pierre, roche, qui a donné Toron ou Touron. Il s’agit d’une cuvette entre Le Col du Tourrond et Saint Pierre composée de bonnes terres agricoles, fruit d’une érosion qui a arraché aux massifs la bordant, le meilleur de leurs sédiments permettant l’installation de « sédentaires » ainsi que le début d’une certaine forme d’agriculture.

Pigeonnier : pas d’information sur l’origine du nom ; en dessous de la route après Bigand . C’est sans doute là que se trouvait l’ancien pigeonnier cité par Félix Allemand qui figurait parmi les domaines procurant des revenus aux seigneurs de Jarjayes.

Pravier : Pra pour pré et Vière pour hameau. Des deux côtés de la route après Pigeonnier.

Ruisseau de Saint Pierre : coule entre Somelonge et Le Serre Saint Pierre : tire son nom du site et du Saint Patron de la première église .

Somelonge : vient de l’occitan « sauma », l’anesse, mais aussi la crête faisant allusion au dos de l’animal. Crête qui descend de Puy Maurel jusqu’au Tourrond, mais aussi de l’occitan « lonja » pour désigner une longue bande de terre étroite.

La Croix : qui n’y est plus, faisait la limite entre Le Tourrond et le quartier de Saint Pierre : à l’intersection de la route du Tourrond, venant de N D du L, de Rambaud et de celle qui mène au village :

Quartier de Saint Pierre : là où se situait l’antique village, où se trouve le cimetière de Jarjayes, la petite Chapelle et un ancien prieuré du XI ième siècle , aujourd’hui exploitation agricole, quartier qui suit Le Tourrond :

La chapelle de Saint Pierre : La première église de Saint Pierre se situait à la place de l’actuel cimetière, elle existait déjà en 1118. C’est la première église paroissiale de Jarjayes et elle le restera même après le transfert du village vers Trechâtel. Lors des guerres de religion, les protestants la saccagèrent. En 1860, ses pierres servirent à construire sur son emplacement une chapelle destinée à perpétuer son souvenir. Elle fut la propriété de la famille De Ventavon, et tient lieu de sépulture à plusieurs membres de cette famille.

Serre Saint Pierre : Serre signifie crête en provençal « la serro » viendrait du latin « serra »pour scie, la forme au féminin aurait donné serra en corse et sierra en espagnol. En face de Somelonge, le ruisseau de Saint Pierre qui se jette dans le Merdarel fait la limite entre les quartiers du Tourrond et de Saint Pierre. Le ruisseau de St Pierre coule au pied de son versant est.

Le chemin de Saint Pierre : chemin communal qui existe toujours, qui part de Sentinelle, là où se trouve le regard de l’ancienne conduite d’eau qui alimentait le village et qui débouche sur le plateau de Saint Pierre entre la Croix et L’Hoche, en passant par La Peyrouse.

L’Hoche  ou L’Hauche  ou Loche: vient du bas latin « oscha » pour terre fertile ; à droite sur le plateau de Saint Pierre, entre la Croix qui n’y est plus jusqu’avant de prendre la descente vers le village.

Vières et les Vigneaux : Vières (village, hameau en vieux français) quartier inclus dans l’ancien village perché, «  Les maisons occupaient la partie de la pente appelée Vières nom qui vient du bas moyen âge et veut dire village » Vigneaux issu de l’occitan pour vigne, du pré celtique la « vigna », à gauche au bout du plateau de Saint Pierre, qui regarde en face Puy Cervier, Bessonne, Tibule, le Merdarel, les Demoiselles coiffées, et au dessus de Valserres la Montagne de Saint Maurice.

La salle polyvalente : construction récente en terminus du plateau de Saint Pierre, avant d’aborder la descente sur le village.

La Carrière : «  carriera » pour pierres, à côté de la salle polyvalente, à gauche en descendant sur le village.

Les Sarrières : issu de « serre » là où le Merdarel prend sa source, entre les Préaux et la face nord de puy Maurel.

Trèchatel : site où est bâti la vieille Eglise, pour derrière le château et pas trois châteaux comme ont le nomme aujourd’hui.

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